Le Stade Brestois sort d’une saison mémorable, marqué par une Campagne historique en Ligue des champions et une solide 9e place en Ligue 1. Pourtant, l’euphorie est vite retombée : Grégory Lorenzi, directeur sportif du SB29, a été clair dans Ouest-France : « Aujourd’hui, on n’a pas la possibilité pour l’instant de faire quoi que ce soit en termes d’offre de transfert. »
Pas de folies à prévoir côté breton, malgré les 52 millions engrangés grâce à la Ligue des Champions. Le club doit composer avec une réalité économique implacable, marquée par la crise des droits TV et la nécessité de combler le manque à gagner plutôt que de flamber sur le marché.
Les départs de cadres comme Mahdi Camara et la fin des prêts majeurs (Coulibaly, Salah, Faivre, Sima, Fernandes) annoncent un effectif à renouveler, mais Brest n’a pas la surface financière pour rivaliser. L’argent de la Ligue des champions va servir d’abord à sécuriser l’avenir et à absorber la hausse des charges, pas à multiplier les recrues clinquantes.
Sans cette épopée européenne, le club aurait pu se retrouver dans une situation critique. « Heureusement qu’on a eu la Ligue des champions cette année. Cet argent-là nous permet de pouvoir passer l’exercice de l’année prochaine », martèle Lorenzi. Le président Denis Le Saint l’a répété : Brest ne dépensera pas ce qu’il n’a pas, et la priorité reste la stabilité. Les ambitions sont mesurées : prolonger quelques cadres, miser sur la formation et garder les comptes au vert.
Pas de folies à prévoir côté breton, malgré les 52 millions engrangés grâce à la Ligue des Champions. Le club doit composer avec une réalité économique implacable, marquée par la crise des droits TV et la nécessité de combler le manque à gagner plutôt que de flamber sur le marché.
Les départs de cadres comme Mahdi Camara et la fin des prêts majeurs (Coulibaly, Salah, Faivre, Sima, Fernandes) annoncent un effectif à renouveler, mais Brest n’a pas la surface financière pour rivaliser. L’argent de la Ligue des champions va servir d’abord à sécuriser l’avenir et à absorber la hausse des charges, pas à multiplier les recrues clinquantes.
Sans cette épopée européenne, le club aurait pu se retrouver dans une situation critique. « Heureusement qu’on a eu la Ligue des champions cette année. Cet argent-là nous permet de pouvoir passer l’exercice de l’année prochaine », martèle Lorenzi. Le président Denis Le Saint l’a répété : Brest ne dépensera pas ce qu’il n’a pas, et la priorité reste la stabilité. Les ambitions sont mesurées : prolonger quelques cadres, miser sur la formation et garder les comptes au vert.